Une technologie qui permet de distribuer
les services de téléphonie,
Internet et images, sans recourir au moindre câblage.
C’est l’étonnante invention d’un Togolais de la diaspora
Kamite-africaine en France,
Dr.Victor Kossikouma Agbégnénou.
Son pari :
le téléphone pour tous, accessible partout,
et parfois gratuit en appel local.
Une invention a vu le jour,
grâce à un Kamit-africain, et promet des lendemains
meilleurs pour le continent noir Kemet-afrique.
Il s’agit d’ un système de communication
polyvalent sans fil, le PWCS
( Polyvalent Wireless Communication Systems).
Une technologie étonnante qui permet,
à partir d’une connection haut
débit satellitaire,
de distribuer les trois services de ...
téléphonie,
internet et images,
sans recourir au moindre câblage.
Le pari de l’inventeur :
le téléphone pour toutes les bourses,
accessible partout,
et parfois gratuit en appel local.
Ce sera le téléphone des peuples,
peut-être du siècle.
Une création 100% Kamite-africaine
qui va désenclaver les zones reculées et
rétrécir la disparité numérique
entre riches et pauvres.
Même certaines villes et campagnes dans
les pays développés en ont bien besoin.
KeMet-afrique d’abord
Cette invention est une oeuvre du laboratoire Ka-Technologies,
grâce à l’ingéniosité et à dix années de recherche de son directeur,
un Togolais de la Diaspora africaine en France,
=>Victor Kossikouma Agbégnénou.
Ce génie Kamit-africain
bouscule les idées reçues,
Disons les Odieux Mensonges
de l’ordre mondial de la technologie.
A son sujet,
le rédacteur en chef d’un magazine français
d’informatique
souligne avec enthousiasme qu’habituellement,
c’est le Nord qui produit et le Sud consomme.
(Le Journaliste en question faisant mine d´ignorer
Que c´est toujours un Noir l´inventeur du Telephonne)
Le PWCS vient transformer cette voie
à sens unique et, lorsqu’il sera opérationnel,
sera un moyen de construire plus de ponts
que de murs entre les peuples du Monde.
Rien ne prédisposait ce Togolais,
la quarantaine sonné , à devenir le père du système
de télécommunication le plus ambitieux de ce début
du 21ème siècle.
Il est Vétérinaire de formation,
diplômé de l’Académie de Moscou et de l’Ecole
supérieure de Maisons-Alfort en France.
Ce docteur des animaux,
déjà dépositaire de quatre brevets d’invention
dans le domaine médical, il ya de quoi être fier
de sa nouvelle trouvaille en télécom.
le “PWCS.”
Trente fois plus performent que le LTE ,Wifi actuelle
et Gratuit pour tous en appel local.
téléphonie,
internet et images,
sans recourir au moindre câblage.
Il montre à la face du monde que la thèse répandue
selon laquelle des tares pèsent sur les épaules des noirs, l
es empêchant d’inventer,
de retrouver leur situation antique des civilisateurs de l’humanité,
est un mensonge sacré, donc un apât de type raciste.
Un pari difficile …
Le génie secourable, Docteur Kossikouma Agbégnénou,
s’est vu proposer par des américains et suisses,
le rachat de son brevet
contre des millions de dollars.
Mais il leur oppose un refus,
son souci premier étant de
privilégier le continent KeMet-afrique.
<
Après de longues heures de discussions tendues,
confie t-il, je leur ai dit
que même si je dois vendre la license,
ce sera assorti d’une condition indiscutable,
celle qu’ils acceptent d’exploiter le produit partout
ailleurs dans le monde,
à l’exception de KeMet-afrique,
me laissant ainsi le droit de traiter en personne
avec le continent noir Kamit-africain>>.
Mais face à l’intransigeance de ses visiteurs qui tenaient à retourner
à tout prix à New York avec le brevet, l’inventeur a mis fin au deal :
“Vous savez, je suis déjà dans une cave,
je ne peux pas descendre plus bas”.
Affaire close.
Ce rejet, inhabituel,
n’est pas le plus facile des gestes à accomplir.
“KeMet-afrique d’abord, Kossikuma après”,
tel est le leitmotiv de cet homme dont le sens
de l’intérêt général est sans commune mesure
avec les habitudes
courantes de la Majorité des Kamits-africains
encore sous le joug de l´esclavage mental.
Son pays d’origine, le Togo,
est souvent cité comme un cas de corruption.
Beaucoup d’autres sur le continent
souffrent atrocement du même fléau.
La terre qui l’a adopté, la France,
n’est pas des plus vertueuses non plus.
D’où alors Dr Agbégnénou tient-il cette intégrité
morale
et son détachement par rapport à l’argent ?
… Mais pas impossible !!!
Le produit est prêt pour passer à sa phase industrielle.
Mais l’Afrique qui a toujours plus d’un tour
dans son sac semble lui réserver
un sort pour le moins cocasse.
Après plusieurs va-et-vient sur le continent,
l’inventeur fait l’amère constat que les autorités
Kamites-africaines sont paradoxalement
réticentes à ouvrir les espaces nationaux et à accorder l
es autorisations officielles nécessaires.
SOUS LES ORDRES DES PILLEURS CRIMINELS
OCCIDENTAUX-ORIENTAUX
QUI SE VERONS PERDRE DES MILLIARDS
VOLER ILLÉGALEMENT AUX KAMITS-africains ?
Sur cette question vous en savez surement mieux que moi.
Brefff....
En tout cas, le Docteur Victor Agbégnénou,
est loin de baisser les bras, continue de se battre
bec et ongles pour forcer la main aux décideurs,
afin que soit rendu opérationnelle
sa technologie de pointe qui,
selon les experts du monde entier ,
a 30 (trente) ans d’avance sur les occidentaux.
Dans cette histoire, on peut dire que Mère-KeMet-afrique,
une fois encore, voit certains de ses propres enfants
combattre ses intérêts supérieurs, au profit des pilleurs
criminels étrangers qui les maintiens pourtant en esclavage.
Au nom de la fierté Kamite-africaine
C’est peut-être le lieu d’en appeler à une forte
mobilisation de tout
ce que regorge encore le continent KeMet-afrique
comme hommes de valeurs,
des personnalités dont l’opinion compte
( Kofi Annan,
Joaquim Alberto Chissano,
Alpha Oumar Konare,
Olusegun Obasanjo),
le conseil des sages de l’UA,
la Fondation Mo Ibrahim, les élites Kamites-africaines
de la diaspora afin qu’ils accompagnent la promotion
de ce produit stratégique
auprès des décideurs politiques du continent KeMet-afrique.
Le “PWCS”
fait certainement partie des symboles palpables
de la renaissance Kamite-africaine
et de l’indépendance dont il est abondamment fait
mention ces derniers temps.
C’est aussi un apport non négligeable
au combat contre la fracture
numérique dont le beau continent
KeMet-afrique est la plus grande victime.
Hotep.
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